Après des mois d’entraînement, la dernière chose que vous souhaitez, c’est d’échouer à votre course car vous n’avez pas mangé le bon repas, au bon moment. Vous avez préparé votre équipement de course, réglé votre réveil et visualisé le tracé. Reste alors une question : que manger la veille et le matin de ma compétition ? Question cruciale et qui ne doit pas être négligée !
Les derniers jours avant une compétition ne sont pas les moments privilégiés pour tester des repas que vous ne connaissez pas ou des aliments trop complets.
Les aliments qui sont riches en fibres ou en épices peuvent causer des problèmes digestifs pendant votre course. Optez plutôt pour des aliments simples et faciles à digérer que vous avez déjà consommés sans problème. Typiquement, évitez donc les aliments complets qui seraient trop riches en tous les macro-nutriments dont les fibres. Chacun est différent, alors faites confiance à vos habitudes.
Nous vous recommandons :
Mangez à votre faim, de façon modérée, afin que la digestion n’affecte pas votre sommeil. Se coucher l’estomac trop rempli pourrait impacter votre sommeil ou vous laisser une sensation désagréable le lendemain matin.
Commencez par une bonne hydratation la veille. L’eau est importante pour des performances optimales, alors buvez tout au long de la journée et pendant le souper. Si vous avez l’habitude de boire une certaine quantité d’eau, attention à ne pas la dépasser de façon excessive, pour ne pas avoir de problèmes de ballonnement.
Évitez les boissons alcoolisées aussi. Bien que l’alcool ait des effets calmants qui peuvent nous aider dormir. L’alcool affecte également la fréquence cardiaque et la variabilité de la fréquence cardiaque, bien sûr négativement. Cela peut arriver après seulement un ou deux verres. L’alcool peut également jouer sur votre système immunitaire.
Le matin, excluez un maximum les matières grasses en trop grande quantité. Un repas riche en lipides pourrait mettre plusieurs heures à être digéré, plus qu’un repas maigre. Évitez les produits très transformés comme les céréales ou les pâtes à tartiner mais aussi les pâtes d’amande, les fromages ou le beurre. Excluez les aliments riches en fibres qui perturbent le transit et pensez bien sûr à vous hydrater !
Privilégiez les glucides naturels, céréales natures non complètes, sans sucre, sans oléagineux, miel, la viande blanche ou les protéines végétales.
L’important est donc la régularité et la mise en place d’habitudes ! Testez petit à petit au fil de la saison des stratégies alimentaires. Pensez bien sûr à noter et suivre vos résultats, sinon tout cela se fait sans vision et sans possibilité d’amélioration… Vous ne savez pas vers quoi vous aiguiller ?
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